Droit Commercial et Droit des Affaires

Le droit des affaires peut se diviser en trois grands chapitres

Le premier chapitre concerne l’activité du commerçant et les règles particulières qui la gouvernent :

  • Règles de comptabilité ;
  • Solidarité commerciale ;
  • Liberté des preuves ;
  • Compétence des tribunaux de commerce ;
  • Validité des clauses compromissoires et des clauses d’arbitrage ;
  • Registre du commerce et des sociétés ;
  • Statut particulier des baux commerciaux (règlementation du bail commercial) ;
  • Statut et cession du fonds de commerce ;
  • Régime des actes de commerce et des actes mixtes ;
  • Cautionnement commercial ;
  • Actions en paiement et référé commercial ;
  • Action en concurrence déloyale ;
  • Etc…

Le deuxième chapitre concerne la structure qui va accueillir l’activité du commerçant :

  •  Choix de la forme de société la plus adaptée : SA, SARL, SAS, EURL, SCI…
  • Rédaction et modification des statuts ;
  • Formalités d’enregistrement au greffe du Tribunal de commerce ;
  • Publicités au RCS (registre du commerce et des sociétés) ;
  • Sort des actes conclus par la société en formation ;
  • Désignation d’un administrateur provisoire ou administrateur ad’hoc ;
  • Publication des comptes ;
  • Responsabilité des dirigeants ;
  • Responsabilité (civile ou pénale) de la personne morale
  • Cession ou transmission d’entreprise ;
  • Modification de la gérance ou de l’objet social…

Le droit des affaires peut se diviser en trois grands chapitres

Le premier chapitre concerne l’activité du commerçant et les règles particulières qui la gouvernent :

  • Règles de comptabilité ;
  • Solidarité commerciale ;
  • Liberté des preuves ;
  • Compétence des tribunaux de commerce ;
  • Validité des clauses compromissoires et des clauses d’arbitrage ;
  • Registre du commerce et des sociétés ;
  • Statut particulier des baux commerciaux (règlementation du bail commercial) ;
  • Statut et cession du fonds de commerce ;
  • Régime des actes de commerce et des actes mixtes ;
  • Cautionnement commercial ;
  • Actions en paiement et référé commercial ;
  • Action en concurrence déloyale ;
  • Etc…

Le deuxième chapitre concerne la structure qui va accueillir l’activité du commerçant :

  •  Choix de la forme de société la plus adaptée : SA, SARL, SAS, EURL, SCI…
  • Rédaction et modification des statuts ;
  • Formalités d’enregistrement au greffe du Tribunal de commerce ;
  • Publicités au RCS (registre du commerce et des sociétés) ;
  • Sort des actes conclus par la société en formation ;
  • Désignation d’un administrateur provisoire ou administrateur ad’hoc ;
  • Publication des comptes ;
  • Responsabilité des dirigeants ;
  • Responsabilité (civile ou pénale) de la personne morale
  • Cession ou transmission d’entreprise ;
  • Modification de la gérance ou de l’objet social…

Un troisième grand chapitre a trait aux « défaillances d’entreprise » ou « droit des entreprises en difficulté » ou encore « droit des procédures collectives ».

Désormais le chef d’entreprise en difficulté dispose d’un arsenal plus complet (mais aussi plus complexe !) pour faire face à la crise et trouver une solution aux difficultés qui l’assaillent :

  • Procédure du mandat ad’ hoc : un mandataire est désigné par le Tribunal de commerce (ou le Tribunal judiciaire pour les personnes civiles) pour aider le chef d’entreprise à trouver un accord avec ses différents partenaires et créanciers ;
  • Procédure de conciliation : avant la cessation des paiements ou au plus tard dans les 45 jours suivant cette cessation des paiements ;
  • Procédure de sauvegarde : avant toute cessation des paiements ;
  • Redressement judiciaire : si la cessation des paiements est avérée mais qu’un espoir de redressement subsiste, ce qui permettra l’élaboration d’un plan de continuation ou d’un plan de cession ;
  • Liquidation judiciaire : si les difficultés rencontrées sont telles que tout espoir de redressement est illusoire.

Cette branche du droit est aujourd’hui devenue fort complexe, en raison notamment de l’imbrication des différents procédures entre elles.

  • Comment réaliser un dépôt de bilan ?
  • Quelles sont les pièces nécessaires ?
  • Quel est le rôle du juge commissaire ?
  • A quel moment demander la conversion d’un redressement judiciaire en liquidation judiciaire ?
  • Comment procéder à une déclaration de créance ou au contraire contester une créance déclarée ?
  • Comment élaborer un plan de continuation (ou plan de sauvegarde) ou un plan de cession ?
  • Quel risque pour le dirigeant de société en liquidation judiciaire : action en comblement du passif, interdiction de gérer, faillite personnelle, banqueroute…
Une parfaite connaissance de la législation – et de la jurisprudence en constance évolution- est indispensable à un traitement sérieux des dossiers.

Le praticien doit toujours avoir à l’esprit qu’un dépôt de bilan (c’est-à-dire une fermeture d’entreprise décidée par le dirigeant) bien préparé et présenté suffisamment tôt vaut mieux qu’une poursuite aveugle et obstinée d’une activité déficitaire.

Mieux vaut ne pas éluder les difficultés et traiter le problème avant qu’il ne s’aggrave.

Le Cabinet VINCENSINI intervient sur des dossiers d’importance significative en France et à l’étranger.

Il pourra vous assister aussi bien dans une démarche non contentieuse (Conseil, rédaction d’actes, consultation) que lors d’un procès devant le Tribunal de Commerce, le Tribunal judiciaire  ou le Tribunal correctionnel (Droit pénal des affaires).